JUSTICE ET INTERNET, UNE PHILOSOPHIE DU DROIT POUR LE MONDE VIRTUEL (French Edition)

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Ceci ne doit-il pas susciter des questions? Le secteur est en survie du fait du monopole sur les media et la distribution. Au niveau des sites marchands, il y a vraiment tromperie. Il faut, cependant, noter deux points. On inventerait ainsi une forme d'imposition optionnelle qui semble assez fantaisiste.

En effet, les dispositifs de cette nature contiennent des effets de cliquets. On peut donc s'interroger sur la nature de leur mission! Ce n'est pas le cas. Ils doivent avoir les moyens de le faire.

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Ne croyez pas que ceux qui volent des copies de film dans les laboratoires pour les contrefaire ne sont pas des gangsters! Personnellement, cela me choque que l'on compare un morceau de musique avec une baguette de pain. Evidemment, les artistes souhaitent vivre de leur art. Un tel cas de figure n'existe nulle part ailleurs. Mais, elles se stabilisent. Je pense que nous reviendrons sur ces points.

Parlez en un peu plus! Je termine simplement mon intervention. Effectivement, ceux-ci ne savent pas, aujourd'hui, ce qu'ils ont le droit ou pas de faire. Je les lui accorde. Le droit d'auteur est notre statut social et nous ne vivons que de cela. C'est ce qui se produit actuellement. Cette affaire n'est pas qu'une question d'argent. Il s'agit d'une question culturelle fondamentale. La culture n'est pas gratuite! Pour faire un film ou un disque, il faut de l'argent! Entre ces oeuvres et les internautes, beaucoup d'argent circule. Le jugement sera rendu au mois d'avril et j'ai bon espoir qu'il soit rendu dans le bon sens.

Evidemment, ce raisonnement se tient. Vivendi met en oeuvre le logiciel Snocap. Il y en aura d'autres. Nous tendons donc vers une solution qui devrait contenter les ayants droit, les distributeurs et les consommateurs. La fondation pour le logiciel libre existe depuis L'utilisateur doit donc pourvoir copier une oeuvre qu'il a obtenue. Le dispositif ne fonctionne donc pas. Dans ce cadre, il faut donc s'interroger: Je me tourne maintenant vers M. Pour les textes communautaires, nous sommes effectivement un simple tuyau.

Cette charte comportait trois piliers.

Le premier reposait sur une communication grand public. Je vous demande de m'excuser de conclure sur un cas particulier, mais je me dois de rebondir sur les propos de M.

Au-delà de la science fiction : l’intelligence artificielle et les droits humains

Didier Huck concernant les formules alternatives. Ce n'est pas la seule. Aujourd'hui, cette identification est possible techniquement. Ces solutions, d'un point de vue technique, ne sont donc pas mures.

Est-ce vraiment ce que nous voulons? Les techniciens semblent infirmer ce point. Ce n'est pas acceptable!

Dans ce cas, je vous conseillerais de laisser les choses se faire. Laissez l'ensemble des intervenants agir!

Si, demain, des artistes veulent diffuser librement leur musique sans appliquer de DRM, ils pourront le faire. Aujourd'hui, nous percevons nos droits au forfait. Evidemment, cet exemple est caricatural. Avec la licence globale, ce seront justement les gros toucheurs qui ramasseront l'argent.

Tous les autres passeront sous le radar de la licence globale. J'aimerais interroger le professeur Sirinelli.

Quel avenir pour les métiers du droit ?

Sommes-nous en position de stipuler pour autrui? Il existe, en France, un dispositif de TVA. Il l'est malheureusement avec nos camarades polonais. Mais, je pense que ni M. Des consortiums regroupant des dizaines d'entreprises travaillent sur ces sujets. Mais, ce n'est pas le cas. Pour le reste, j'ai bien entendu les observations sur le logiciel libre.

Pardonnez-moi de vous interrompre, mais nous avions trois ans de retard dans la transposition de la directive. S'il s'agit simplement de rattraper le retard, M. En tout premier lieu, il y a effectivement le droit d'auteur. A ce titre, je voudrais reprendre les propos de M. En revanche, nous ne pouvons pas nous installer dans un statu quo. C'est bien cela qu'il faut faire entendre aux utilisateurs d'Internet: Une fois que nous aurons mis ce cadre en place, nous pourrons fixer des curseurs et des limites.

C'est effectivement plus complexe que de se situer dans une seule logique. L'exemple de la presse est assez parlant. Je souhaite intervenir rapidement sur les solutions. Je m'interroge sur les moyens d'atteindre cet objectif par cette voie. F uson, W illiam M. H are, Richard M.

Why Was This War Different? Z ohar, Noam J.

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W ilson , James Q. P aulson, Stanley L. M azeaud , V. O ppetit , Bruno, Philosophie du droit , Paris, Dalloz, Basculer la navigation Classiques Garnier.

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